Jour 861...

-Un héros de la lumière? Un médium? Arrête avec tes conneries! La seule chose à laquelle je suis destiné, c'est de te tuer et ramener ces enfants que tu traites d'esclaves de retour à leurs familles, dont les miens également. Je ne suis pas un héros, je ne suis qu'un père. Et toi... Tu es mort... Avant que le soleil ne se couche... Je te ferai la même chose qu'à ce seigneur auquel tu as vendu ma femme...

Nomad tentait de se débattre pour se dégager des enfants qui le maintenaient ainsi. Il était hors de question de les blesser pour se dégager. S'il pouvait au moins dégager ses jambes, il pourrait attaquer l'homme à la dague avant qu'il ne puisse faire je ne sais quel rituel obscur sur lui. La rage le consumait peu à peu. Le fait d'être impuissant face à cette situation. De ne rien pouvoir faire pour aider ces personnes. De ne pas être en mesure de tuer cet homme responsable de tous ses malheurs. De ne pouvoir que le regarder faire. Sous la colère, Nomad poussa un long cri de rage. Fruit de tout la colère et la haine amassée depuis plus de deux années d'errance. Il tentait alors de se débattre plus fortement encore que les dernières fois pour se jeter sur l'homme à la dague et le massacrer de ses bottes. Puisqu'il n'avait plus ses lames, elles deviennent la seule arme dont il dispose.

La poussé de rage de Nomad lui permit de se dégager un bras. Il se débatit alors encore plus férocement et il réussis à se dégager completement. Alors, il se jeta vers l'homme au masque. Celui-ci tenta d'esquiver en attaquant. Il ne parvint pas à éviter la lame de la botte de Nomad, qui lui fit un affreuse entaille au côté, mais il réussis a égratigner le bras celui-ci au passage(-2 pdv). Il tomba au sol, gravement blessé. Nomad se retourna pour l'achever, mais déjà les enfants lui sautaient dessus pour le planquer au sol. L'homme riait d'un rire démentiel, alors qu'il pataugais dans les égous de la ville. Nomad se retrouva aussi dans l'eau, et les enfants lui callère la tête au fond. Il ne pouvait plus respirer.

Nomad continuait de se débattre. Avec les enfants dans son chemin, il ne pourrait pas attaquer l'homme à la dague. Il devait sortir des égouts. Il tenta de se retourner pour pousser vers le haut et ainsi sortir de l'eau. S'il pourrait au moins sortir de l'eau, il pourrait arriver à un endroit au sec et assommer ses enemis un à un. Ce n'est pas une chose qu'il voudrait faire, mais vu les circonstances, il va faloir être un peu plus rude.

Nomad poussa et réussis à sortir la tête de l'eau. Il vit l'homme, qui titubait vers la statue avec un rire démentiel, la dague levée haut. Un fin filet de sang se trouvait sur la lame. Le sang de Nomad. C'est alors que, de l'autre côté, un bruit d'éclaboussure retentit. Nomad se retourna pour voir les deux Volgis. L'un trancha le coup d'un des enfants assassin, aors que l'autre se tourna vers Nomad.

-Il ne faut pas qu'il atteigne la statue, hurla t'il.

Mais il était déjà trop tard. Noma vit 'homme au masque s'accrocher à la statue, pour enfoncer profondément la dague, comme si elle avait pénétrer de la chair, là où le coeur devrait être. Puis il se laissa retomber dans l'eau.

Nomad avait réussis à se dégager, mais les enfants l'encerclaient.

L'homme à la dague semblait être en train de faire un étrange rituel et s'il se fiait à ce que disaient les Volgis, il devrait arrêter ce rituel à tout prix, quitte à perdre son innocence... Il ne pourrait pas l'atteindre sans blesser les enfants l'entourant. Maudissant une fois de plus une tactique aussi ignoble, il se décida de faire ce qui le dégoutait depuis si longtemps... Il devrait attaquer pour tuer! Prenant position, il s'élancea pour attaquer les assaillants. Tentant de dégager la voie, il empoigna les chaines toujours rattachées à ses bracelets pour s'élancer vers la statue. Il les enroula autour de ses mains afin de frapper avec plus de force. Une fois assez près de la statue, il les déroulerait. Son but serait de s'en servir pour retirer sa lame. En ce moment, il se dégoutait, mais il fallait être réaliste... On ne peut sauver tout le monde...

Nomad se servit de ses poings pour frapper sews assaillants alors que ceux-ci s'élançaient. ils étaient rapides, aussi eu t'il beaucoup de mal à se frayer un chemin vers la statue. De plus l'eau le ralentissait considérablement, même si ce malus affectait encore plus les enfants qui étaient petits. Un enfant lui sauta dessus, planta sa dague effilée profondément dans son bras (-4 pdv) Il réussis à le jeter au loin, puis il la prit comme arme. S'en servant contre les enfants, il en tua plusieurs, mais réussis à atteindre la statue. L'homme au masque flotta à la surface de l'eau, riant, mais s'étouffant parfois.

-Il est trop tard. Le rituel a été complété. J'ai remplis ma mission, je peux maintenant partir en paix. J'ai laver la dette d'Yhendra.

Il recommença à rire, ce qui le fit s'étouffer encore plus fort.

La rage se voyait dans les yeux du nomade. Enragé, il planta la dague qu'il tenait dans les mains dans le corps du fou, puis encore, puis encore.

-Lavé la dette d'Yhendra? Te fous pas de moi! Pour tout le mal que tu as fait, je compte bien te le faire regretter!

Une fois le cultiste mort, Nomad se dirigea vers la statue. Profitant de l'assistance des deux Volgis, Nomad tentait de retirer la dague de la statue en posant un pied dessus et en tirant de toutes ses forces.

Lorsque le nomade se positionna pour etirer la statue, il vut que celle-ci pleurait. Des larmes de sang. Il empoigna la dague à deux mains, posant un pied sur la statue pour avoir un appui. La dague, bien quelle fut entrée aisément, semblait ne pas vouloir ressortir. Nomad tira de toutes forces, alors que les deux Volgis occupaient les enfants. Soudain, la dague se découinça et il put la retirer. Il s'étala dans l'eau pestillancielle, la dague dans les mains. Le nomade se releva, regardant la staute. Il vit tout d'abord une petite fssure se former, puis elle s'étalla, jusqu'a ce que la statue vole en éclats.

Nomad, toujours étalé dans l'eau, était figé par le spectacle qui s'offair devant lui. Il était trop tard. Peu importe ce que les Volgis voulaient empêcher d'arriver semblait être libéré. Cette... Étoile Noire... C'était une femme? La sueur perlait sur son front alors qu'il regardait la statue s'ouvrir, figé.

-Qu'est-ce que tu fais!? C'est vraiment pas le moment de rester planté là!

La voix du Volgis tira Nomad hors de ses pensées. Ce qui est fait est fait. Il a tué des enfants inocents. Ses mains étaient à présent tachées du sang de ceux qu'il tentait de protéger. Il se releva lentement, tenant la dague du cultiste dans une main et celle de l'un des enfants assassins dans l'autre et se tenait dans une position de combat et attendait.

Plusieurs fragments de la statue avaient volés près de lui, mais il ne se trouvait rien à l'intérieur. il vit certains enfants se placer devant lui, mais la plupart partirent. L'un des Volgis se trouvait près de lui, l'autre combattait. Il lui tendit quelque chose envollopé dans un tissu. Nomad le pris et en sortit ses deux lames.

-Nous les avons récupérées dns les souterrains. Je crois que tu en aura de besoin.

Les enfants restaient là. Ils ne fonçaient pas sur le nomade et le Volgis, mais se contentaient de bloquer la sortie.

Nomad était anxieux quant à savoir ce qui se trouvait à l'intérieur de la statue. La scène ressemblait quelque peu à un oeuf en train d'éclore... Il jeta les couteaux pour s'équiper de ses lames qu'il rattachea à ses chaines. Il prit soin de remercier les Volgis au passage. Il se tenait face à la statue, levant ses lames, prêt à combattre ce qui viendrait à en sortir.

-Si vous préferez partir, alors faites-le. Je m'occuperai de ça seul. C'est de ma faute si l'"Étoile Noire" a été invoquée alors la moindre des choses serait que je la renvoie d'où elle vient...

Alors qu'il se tenait devant, les volgis distinguèrent quelque chose de brillant descendant le long du visage de Nomad. C'était des larmes. Nomad avait perdu son inocence au moment où il a attaqué pour tuer alors qu'il savait que son enemi n'était qu'un enfant drogué pour en faire un esclave. De la rage envers l'homme resposable de leur triste état et du désespoir du fait de ne rien pouvoir y faire pour l'instant.

-Regardez-moi ça... J'ai l'air pathétique...

Nomad essuya les larmes du revers de la main. Il se remit en position de combat et attendait patiemment la venue de l'Étoile Noire. Lui, un héros de la lumière? Il refusait toujours d'y croire. Il ne croit pas en ce que les gens appellent la destinée. Rien n'est le fruit de l'intervention d'une divinité quelconque. Inutile de rejeter la faute sur Dieu, ce sont les Hommes qui ont fait de ce monde ce qu'il est. Et pourtant, il se tient là, prêt à défendre ce monde pourri de sa vie. Il ne savait pas trop pourquoi, mais il le faisait...

-Il est temps d'en finir une bonne fois pour toutes...

Nomad fondit sur les enfants qui restent pour les supprimer et se rendre jusqu'à la statue. S'il pouvait l'atteindre avant que ce qui se trouve à l'intérieur en émerge, peut-être pourrait-il l'empêcher d'arriver en ce monde. Peu importe ce que c'est, si le chef du Mirage Écarlate était impliqué, alors c'est le mal en personne...

-Que fais tu?

Le Volgis s'était écrier lorsqu'il avait vu Nomad s'élancer vers la statue.

-J'ignore ce qu'est l'Étoile Noire, à part que c'est quelque chose de démonique. Cette statue représente la mort de Yhendra, Grande Reine Divine de notre terre. Il s'agit du culte des Veleines. Tu ne peux plus rien faire ici : il faut quitter cet endroit!

-Vous partez, moi je reste! C'est ma faute si cette chose a été libérée. Je ne quitterai pas cet endroit avant d'avoir réparé mon erreur. Vous aurez à me trainer de force... Si on veut détruire cette chose alors c'est notre meilleure chance!

Nomad se préparait à bondir pour poignarder de ses lames peu importe ce qui se trouvait à l'intérieur. Par sa faute et sa faiblesse, ce qui était qualifié comme la mort d'Hyendra était maintenant imminent s'il en croyait ce que lui disaient les Volgis. Il ne pouvait pas reculer. Il ne devait pas reculer. Il ne reculera pas.

La pierre vola en éclat. À l'intérieur se trouvait... rien. Tous cessèrent de combattre. Le Volgis près de lui murmura tout bas.

-Le règne d'Yhendra viens maintenant de prendre fin. Je n'ose imaginer ce qui prendra sa place.

Puis soudain, une énorme dalle tomba du plafond, juste devant les deux hommes des Terres Arides, les éclaboussant, mettant fin au silence. Le plafond se fendilla et d'autres tuiles tombèrent. L'une manqua de happer le second Volgis, mais il réussis à l'éviter. Certaines tuiles écrasèrent des enfants. Ceux qui restaient partirent en courant.

-Il ne faut pas rester ici. Cet endroit vas s'effondrer!

Voyant que l'endroit s'effondrait, Nomad prit la fuite avec les autes venus l'aider. Il n'avait pas vu l'endroit avant d'arriver car quand il s'est réveillé il était déjà enchainé, mais il est certain qu'il pourrait trouver une sortie quelque part. Les Volgis connaissent certainement une sortie et décida donc de les suivre. Il arriva à la hauter de l'un d'eux.

-Il n'y avait rien à l'intérieur... Vous êtes certains de ce que vous dites? La statue était vide, ça peut pas être ça!

Il sauta sur le côté pour éviter une lourde dalle qui était tombée du plafond. On pouvait voir quelques rayons du soleil à mesure que l'endroit s'écroulait. Nomad continuait de suivre les Volgis, persuadé qu'ils pourraient le mener vers la sortie.

Ils courraient parmi les assassins enfants. La panique venait de prendre le dessus sur tous. Une lourde poutre s'écrasa juste devant Nomad et le Volgis qui lui avait ammener ses armes. Lautre se trouvait à présent de l'autr côté.

-Merde, dit celui-ci. Nous le trouverons dehors. Suis moi.

Ils coururent derrière des enfants, espérant qu'ils connaissent une sortie. Ils finirent finalement par trouver un endroit où la lumière s'infiltrait par un trou laissé par une dalle. Les enfants l'utilisaient déjà pour sortir. Le Volgis grimpa puis aida Nomad à sortir du trou. Ils se trouvaient maintenant à l'extérieur.

Un grondement se fit entendre puis une longue fissure se forma dans la rue à mesure que les égous s'effondraient. La fissure fit s'étendit sur encore quelques mètres avant que tout ne s'arrête. La poussière se trouvait suspension, mais iol n'y avait aucun témoin, tous setrouvaient à la place centrale, et personne ne se trouvait dans ce coin reculé de la ville.

Les enfants s'enfuyaient partout dans la ville.

Nomad se laissa tomber par terre afin de reprendre son souffle. Puis, son attention se posa sur les enfants qui fuyaient.

*Probable qu'ils fuient vers leur "maître"...

Il se releva pour se précipiter à la poursuite des enfants, sans attendre les Volgis.. Il restait à une certaine distance d'eux afin d'éviter d'être repéré. La panique les empêchaient tout de même de le remarquer facilement.

*Je te retrouverai et je te tuerai. J'en fait serment...

Cette fois, il éviterait par tous les moyens de tuer ou blesser ces enfans. Ils sont innocents dans toute cette histoire et plus jamais il ne leur ferait du mal.

Il courrut une courte distance avant d'entendre des cris de terreur venant de la place centralle. Aussitôt, Nomad remarqua des changements dans l'attitude des enfants. Ceux-ci se tinrent les oreilles, comme si le bruit de ces cris leur était insuportable. Puis, ils se tournèrent dans toutes les directions, déguainèrent leurs dagues et s'élencèrent. Quelques instants plus tard, nomad vit une foule fuir il ne savait trop quoi. Alors ce qu'il vit lui glaça le sang. Les enfants semblaient être devenus complètement fous, encore plus qu'avant, et s'attaquèrent aux civils qui fuyaient, les poignardant sauvagement. des gardes, qui se trouvaient dans les parages virent les affronté et la scène dégénéra en un véritable tableau anarchique. De partout dans la ville, Nomad entendit des cris de terreur, de douleur et d'agonie.

Horrifié par la scène, Nomad tomba à genou. Il ne pouvait pas les tuer, mais il ne pouvait pas les laisser s'attaquer aux autres. Le simple fait de penser le faire le rendait malade. Il serrait les dents de rage face à son impuissance. Ces enfants ne pourraient plus jamais avoir une vie normale... Tout ce qu'ils feront, ce sera tuer. Tout ça à cause de la stupidité et la cruauté des adultes. Il est écoeurant de voir à quel point ceux qui sont sensés les protéger et les guider se servir d'eux d'une façon aussi horrible et immorale. Il se releva machinalement et commencea à marcher vers les enfants assassins tout en dégainant ses lames.

*S'il y a un Dieu quelque pars, alors espérons qu'il vous acceuillera comme des humains. Ce sera déjà ça de plus que vous aurez eu dans ce monde pourri...

Nomad se mit à attaquer les enfants assassins, se placeant entre eux et les citoyens et les gardes. Ses mouvements étaient aussi fluides et rapides qu'à son habitude. Toutefois, son visage avait perdu tout émotion. Son regard était tout aussi vide que celui des enfants qu'il pourfendait. Il est hautement probable qu'il ne soit plus jamais la même personne après tout ça...

Alors que l'affrontement faisait rage, Nomad devint froid et distant. Il n'avait pas le choix...

Puis, après une dizaine de minutes de combat, il ramarqua quelque chose d'étrange... Une lumière bleutée se diffusait dans toute la ville, semblant venir d'en haut. Puis un son se fit entendre. Comme un sifflement. Nomad regarda vers le haut pour voir une étoile filante bleutée. Celle-ci tombait, directement vers eux. Elle allait s'écraser sur Ballion!

Sans dire mot, Nomad posa sa main sur l'épaule de l'un des gardes pour lui faire signe de regarder en haut. Ensuite, il fit un mouvement de balayement de la main. Il faisait signe aux soldats de se retirer et de se concentrer sur l'évacuation des civils. Il était devenu plus que froid et distant. Son visage semblait figé et sans vie. Ses lèvres restaient scellées pour rester d'un silence de mort. Les paroles lui semblaient être devenues rien d'autre que traitrise et souffrance. Les gardes reculaient pour aider à l'évacuation des gens avant que l'étoile filante ne s'écrase sur la ville. Il ferma la marche en se tenant entre les gardes et les enfants assassins dans une rue plus étroite afin d'éviter de se faire submerger ou encore contourné. Leurs armes étaient courtes, donc Nomad opta pour une attaque de plus longue portée. Il se servait donc de ses lames pour créer de larges arcs autour de lui de façon à ne pas laisser d'ouvertures susceptibles de laisser passer certains d'entre eux pour qu'ils ne puissent pas s'en prendre aux civils.

L'étoile arrivait vite, trop vite! Les civils, qui se déplaçaient en groupe, n'auraient pas le temps de s'enfuir. Déjà, certains l'avaient compris et se mettaient à courir à toute jambe. Ce qui, pour la plupart, leur était fatal, car ils devenaient des cibles faciles pour les enfants assassins.

Nomad se mordit la lèvre inférieure voyant la situation, laissant couler un mince filet de sang. Passé le choc, il avait un peu plus conscience de ce qui l'entourait. Optant toujours pour une position défensive, Nomad savait qu'il ne ferait que perdre du temps précieux. Il opta alors pour une attitude plus offensive... Se saisissant de ses lames, il les fit tournoyer au-dessus de sa tête pour les abattre sur l'enemi. Il attaquea alors, passant de la droite à la gauche afin d'attirer l'attention des enfants assassins sur lui. Une fois leur attention fixée sur lui, il se mit à courir vers une partie plus dégagée de la ville. Il pourrait ainsi quitter la ville et être hors du sillon de l'étoile tombant sur la ville et laisser à la fois une chance de plus aux civils de s'échapper en libérant la voie.

La technique lui permit d'abattre deux assassins, puis la plupart décidèrent de le predre en chasse. La diversion avait fonctionnée, les gardes se chargeraient du reste. Nomad partit à travers la ville, courant dans les rues, pourchassé par une horde d'enfants assassins qui malheureusement semblaient gagner du terrain.Nomad arriva aux portes de la ville... pour voir que des civils les refermaient. Dans leur panique, ils avaient préférer sacrifier tous ceux qui voudraient fuir pour empêcher les assassins de passer. Si Nomad voulait passer, il devrait faire vite, et cela permettrait aux assassins de passer.

Voyant les portes en train de se refermer, il se dit qu'il devrait faire vite. Empoignant ses lames, il fit un tour sur lui-même en les balanceant les plus loin possible vers ses enemis pour les faire reculer et gagner de la distance avec eux(elles restent toujours attachées). Il reprit alors la course vers la porte. Il voulait sortir, mais ce ne serait pas aux dépents de la sécurité des habitants de Ballion. Si jamais il ne peut pas sortir tout en empêchant les enfants assassins de le suivre jusqu'à l'extérieur de la ville, il devra trouver un autre moyen de sortir. On a beau ériger tous les murs que l'on veut, il y a toujours un moyen de sortir ou entrer autre que la porte.