La rédemption du solitaire...

Fléau et les hommes en beige arrivèrent dans une des multiples fissures qui formaient des cavernes. Ils entrèrent à l'intérieur. Là, ils tenèrent Fléau au garde à vu jusqu'à l'arrivé d'un nouvel homme. Celui-ci pourtait un toge noire et le capuchon ne laissait qu'entrevoir un petit menton mal râsé et un sourire large. L'homme parla.

-Fléau... Ta réputation te précède. Mes hommes m'on raconter ton combat. Bravo! On m'avait dit que tu avais du talent.

Alors que Fléau dit ces mots, un homme en beige près de lui se mit à tousser.

-Très peu ont eu la chance de connaître mon nom, dit l'homme en noir.

L'homme qui avait tousser tomba au sol, mort. Plusieurs autres se mirent à tousser, et la panique se lit sur tous les visages, sauf celui de l'homme en toge. Ce dernier étira plutôt son sourire.

-C'est fascinant... Ceci EST un don. Vois : Personne ne peut t'arrêter!

Le dernier homme en beige tomba et le silence reprit ses droits sur la caverne orangée, jusqu'à ce que l'homme en toge noire se remette à parler.

-J'ai besoin d'un artéfact : Celui-ci voyage en ce moment même dans le désert en direction de Veleina. Des hommes du roi Caellan doivent en assurer la sécurité. Mais toi tu peux les vaincre. Des hommes t'attendent au nord. La caravane doit passer par là. Tu n'as qu'a t'y rendre, te débarasser des hommes du roi avec l'aide de mes hommes, puis prendre cet artéfact. Il s'agit d'une dague cérémonielle rouge, tachée par le sang. Une fois ta tâche accomplie, apporte-la moi à Ballion. Je serai dans une taverne appelée «Le Destrier Blanc». Là-bas, je te donerai une récompense.

-Et pourquoi vous aiderais-je? Vos intentions sont clairement mauvaise et, si je suis ici, c'est pour me faire pardonné et de prouvé au roi que tout ceci n'était qu'un malheureux jeu du hazard... De plus, ce n'est pas un don, mais une malédiction que j'ai reçu... Vous pouvez y voir toute la puissance que vous voulez, jamais je n'aurrais une vie normale et tout ceux que j'ai aimé, que j'aime et que j'aimerais sont condamné à mourrir... De plus, personne ne peut rester en ma compagnie pour plus de quelques heures sans en mourrir... Rien ne m'empêche de faire semblant de partir pour ensuite rester tout près pour vous achever...

Sans quittez des yeux cet homme, il reprit ses épées du cadavre et les attacha de nouveau à sa taille... Il avait l'habitude avec le temps...

-Je ne suis pas un messager de la mort ni un être incarné par une volonté pour mettre à feu et à sang ce monde... Je ne suis qu'un être maudit... Un être ne pouvant obtenir ce qu'il cherche de plus cher... Et personne ne peut stopper ce sortillège... Nul récompense n'est à la hauteur de la vie des gens... Avec ses vingt-trois hommes, 543 victimes ont été de mon sort... Je ne tiens pas à en faire plus...

Fléau n'avait nullement confiance en cet homme... Il sentait ses intentions vicieuse ainsi que son désir de l'utiliser pour tuer et détruire ceux qui étaient au travers de son chemin... Des hommes dont le pouvoir les aveuglaient... Tel des gloutons qui ont trouvé une corne d'abondance... Il voulait partir de cet endroit au plus vite...

-Je souhaite sincèrement que tu accepte. Si tu refuse, ces hommes mourreront tout de même, et j'obtiendrez cette dague, mais cela me coûtera la mort de plus d'hommes.

Alors qu'il parlait, un brouillard commença à se lever. Ce qui était très étrange en plein désert.

-C'est étrange quand même : C'est en refusant de tuer que tu provoquera la mort de plus de gens.

Il rit, et en même temps le brouillard l'engloutit. Le rire s'éternisa quelques secondes puis ce fut silence. Le brouillard se dissipa. Fléau était maintenant seul dans la caverne.

Je décide, après une rencontre peu fructueuse et qui me laisse très peu de temps pour y penser, de fouillez les cadavres pour récupérer des armes ou autres babioles... Pratique indispensable pour sa survie... Vendre des armes et des objets amassés ici et là de malhonnêtes gens...

Je prit un morceau de tunique couleur sable pour entouré ma blessure... N'étant pas bien grave, il fallait éviter le contact avec le sable... Je prend ensuite compte des que j'ai recueillis...

En pensant à ce que cet homme avait dit, je me retrouvais en bien mauvaise posture... Tué pour sauvé plus de vie...

-Quel vie... Tué pour éviter des morts... Je déteste vraiment ce don...

Tous portaient des sabres recourbés de qualité moyenne. Fléau ne peut qu'en transporter une dans son dos, car deux armes pendent déjà de sa ceinture. Il trouva tout de même 25 pièces de cuivre, ainsi qu'une bague en argent.

Je met donc la dague dans ma botte, un des sabres dans mon sac et je met les pièces de cuivres dans ma bourse... Je vais une prière tout ce qu'il y a de plus basique et je met le feu aux cadavres... Je m'éloigne de la grotte en réfléchissant à ses paroles... Si j'attaque la caravan avec ses hommes qui doivent m'attendre, ils mourront de ma compagnie... Si je ne les accompagnes pas, les hommes du roi mourront tous...

-Dans tout les cas, ils mourront tous... Je ne peux rien faire... Sauf une action stupide... La caravan doit être déjà parti...

Après quelques moments à regarder dans le sable, je décide de rejoindre le groupe de malfrat du désert...

(OOC: Il s'agit d'une bague, genre bigou, et non une dague)

Fléau quita la caverne sous le soleir plobant. Celui-ci n le gêna outre mesure, en raison de son accoûtrement mais surtout de l'habitude. Il marcha ainsi plusieur heures dans le creux des ravins qui s'étaient formés il y avait déjà longtemps. Lorsqu'il arriva à un ruisseau, tout au nord des canyons, le soleil déclinait déjà à l'horizon.

Le pensement qu'il s'était improvisé au bras avait permit à sa blessure de bien se refermer, sans s'infecter. Celle-ci n'était pas encore cictrisée, mais bien en voie de guérison (Récupération des pdv, rétablissement du niveau d'habileté du bras).

Il se dit qu'il ne devait plus être loin des hommes qui l'attendaient pour l'embuscade.

(Oups, j'ai vraiment lu Dague... Tant pis... Je met l'anneau dans ma bourse dans ce cas...)

Je m'installe au ruisseau pour m'abreuver et pour y passer la nuite... Si les hommes de cet homme mystérieux sont près, ils viendront... Sinon, je les rejoindraient au matin...

Comme l'avait prédit Fléau, un homme sortit bientôt de derrière un pan de rochers. Il portait le même vêtements beiges que ceux qui l'avaient attaqué à l'oasis de Tylon. Il s'approcha de lui.

-Tu es près? La caravane va bientôt passer.

-Combien sont-ils? Et vous êtes combien? Pour une meilleur stratégie, il me faut le nombre exact de nos troupe ainsi que leurs positions... Aussi, vous avez quoi comme arme? A combien de temps est la caravan?

Il posait les questions pour un meilleur ensemble... Pour que son plan soit parfait et efficace...

Comme l'avait dit l'homme en beige, ils étaient douze, donc treize avec Fléau. Il lui expliqua que la caravane devait passer dans un canyon étroit, où trois fissures étaient percées. Une à gauche, deux à droites. Les hommes qu'ils voulaient attaquer étaient dix et transportaient deux charroits. L'artéfate se trouvait dans l'un d'eux.

-Nous tendrons une ambuscade dans la fisure à gauche... Je sais qu'il serait plus logique de séparer les équipes, mais ainsi notre feu sera nourrir (par feu, je désigne des flèches... Alors, separons les effectifs en deux: 6 archers à gauche et 6 dans les fissures à droite... Nous les bombarderons avec nos flèches en premier et, lorsque leurs attention sera attiré vers nous, les autres les prendrons à revers... Des questions?


(J'aimerais être informé des formations ainsi que quelques temps avant l'attaque...)

(OOC: Toi tu te trouve dans la fissure de gauche, et vous attaquez en premier. Puis les autres foncent dessus, c'est ça?)

-Compris, mais nous ne sommes pas experts archés.

(C'est ça...)

-Pas de problème... Tenter juste de viser vers eux... Nous les attaquerons ensuite avec de bonne vieilles lames pour les achevez...

Les hommes se plaçèrent selon les plans de Fléau, et attendirent. Bientôt, un bruit de bois qui craque se fit entendre. Fléau se pencha par la fissure et vit deux chariots tiré par des chameaux, l'un à la suite de l'autre. Deux hommes s'occupaient des chameaux, le reste étaient répartis autour du convoi: trois marchaient en avant, deux de chaques côtés et un derrière. Ils portaient tous une armure de cuir sous des vêtements rouges et jaunes, les uniformes des hommes de Caellan. Une épée était ceintrée à gauche de leur ceinture, alors qu'une rapière ornait le côté droit. Ils progressaient lentement sur le sol raboteux du canyon.

-Tiré à trois... Un...

Je sort mes deux lames... je suis présentement derrière ses hommes...

-...Deux...TROIS!

J'utilise mes deux épées pour pourfendre deux des hommes qui tirent à l'arc... Ils ne peuvent ripostés et se font transpercés... Ensuite, je m'élance vers un autre homme pour lui tranché la tête... En effet, mon plan est de tuer ses êtres stupides... Une fois mort, je rejoindrais la caravan pour les prévenirs de l'homme qui cherche à les attaqués... Aussi regagné du prestige pour les hommes du désert...

(OOC: Je savais!!)

Les deux premiers hommes hrlèrent de duleur alors que leurs corps se faisaient transpercés mortellement des lames de Fléau. Les hommes se retournèrent alors, un second ne put réagir, et il fut décapité. Les trois autres avaient reculé, abandonnant ainsi leurs épées au sol. Lorsqu,ils s'apperçurent de cette erreur, il était trop tard, Fléau se trouvait entre eux et leurs armes. Aussi tournèrent-ils les talons... pour tomber face à face avec des soldats de Caellan. Ils furent morts en très peu de temps.

Soudain, un cri retentis : Six hommes en beige sortirent de la fissure de l'autre côté du canyon, sabres au poing.

-Homme du roi, ses hommes sont venu pour l'artéfact! Je vous raconterai mon histoire plus tard, mais le plus important c'est de protéger cette dague...

M'élançant vers les hommes en beige, je m'élançais sur le premier pour le percer de ma première lame et me défendre avec la seconde...

Les hommes en rouge hochèerent la tête. Aucun d'eux n'avaient été blessés par les flèches.

Le premier adversaire arriva. Fléau tenta un coup, mais l'homme réussis à le bloquer. Un second coup vint, Fléau para. Ce fut ensuite les hommes de Caellan qui arrivèrent. Ils éliminèrent quatres hommes en beige en lorsqu'ils chargèrent, mais l'un d'eux se vit ouvrir le ventre. Ses entrailles tombèrent au sol avant son corps.

2 ennemis se trouvaient maintenant devant Fléau.

En courrant vers eux, je fit un arrêt net en freinant pour soulever le sable vers eux pour les aveuglés. Avec mes deux lames, je tentais de tailler le ventre de celui devant moi et de faire un bond de côté que mon action ait réussi ou pas.

L'homme en beige fut découpé et tomba au sol dans une mare de san. Déjà l'autre homme avait été tué par les hommes de Caellan. Ceux-ci se tournèrent alors vers lui, semblant curieux.

Un homme, le seul portant une cape rouge, s'avança vers lui

-Qui es tu?

Alors un homme inspira difficelement pour parvenir à répondre en tremblant.

-C'est Fléau. On dit que tous ceux qui le touche meurent.

Les hommes se regardèrent, inquiets, mais le chef fronça les sourcils avant de poursuivre.

-Fléau... J'ai reçu un avis d'arestation à ton sujet.


(+ 200 Xp pour le combat, LV up!)