La rédemption du solitaire...

Après plusieurs années de solitude et remords, Fléau décida de retourné à Tylon après son passé douloureux en ses lieux... La mort de son entier famille était sur ses épaules... Un des plus puissants et un des plus respectés du désert... La légende dissait que la première famille à avoir prêté allégeance à la ligné des roi du désert était la noble famille des Darmas... Famille qu'il avait détruit à cause d'un mauvais sort qu'il avait nommé Malédiction de Chentaran à cause du tombeau dans lequel il avait vu le combat funestre de deux mage noir... Personne ne pourrait reproduire ou contré ce sort... Ce qui était démoralisant...

En effet, il était voué à être solitaire car nul groupe ne pouvait l'accompagné pour plus de quelques heures... Après quoi, ils mourraient dans d'atroces souffrance après avoir craché beaucoup de sang et une crise cardiaque... Ceci dit, il devait resté loin des siens pour éviter de les détruires... Maintenant plus vieux, il voulait faire la paix avec le passé... Il devait aller au tombeau de ses ancêtres pour ce recueillir... Il voulait ensuite parlé au roi pour voir s'il pouvait nettoyé son nom des infamies qui se dissait à son sujet et qui était éronné...

Arrivé au lieux des tombeaux, il se recueillit en cherchant un signe ou bien qu'une illumination divine lui vienne en aide...

(S'il se passe rien, juste dire qu'il se passe rien)

Fléau se promenait au milieu des monuments funéraires de sa famille. Celle-ci avait été érigée par le roi en l'honneur de ses ancêtres. Il vit bientôt une large pierres funèbre, celle de ses parents. Il s'agenouilla pour se recueillir.

-Je savais que tu reviendrait.

Fléau se retourna, pour voir se tenant debout Ulan. Il s'agissait d'un homme avec qui il avait grandi. Il venait d'une famille bien plus modeste, mais Fléau l'avait apprécié.

Lorsqu'il se releva, Ulan eu un mouvement de recul et une expression de mépris apparu dans son visage quelques instants, puis disparut aussitôt.

-Désolé, mais on ne sais jamais...

Il ne finit pas sa phrase. Alors que Fléau le regardait en silence, Ulan reprit la parole.

-Pourquoi est tu revenu ici? Savais-tu que plusieurs croient que tu avais empoisonné ta famille? Le roi est l'un de ceux-ci.

-Tu sais très bien que je ne serais pas ici sans une bonne raison... J'ai ici la preuve de mon innocence ainsi que la preuve que le roi a besoin pour me croire...

Il lui montra un parchemin qu'il gardait avec lui sans le laisser hors de main...

-J'ai voyagé pour que ce mal me soit enlevé, mais sans résultat... Plusieurs mages de renommé ont bien voulu m'enlever ce triste sort en récompense d'actions odacieuses, d'ingrédients trouvés et d'adversaires tués... Tout homme a un prix et j'ai pu exploité cette faille... Au nombre de sept sont ceux qui ont signé et attesté mon état... Les preuves sont ici... Il ne me reste qu'à voir le roi pour lui remettre...

Il remit le parchemin bien caché près de son soeur et expira brutalement...

-Tu sait autant que moi que je n'ai jamais voulu d'un tel sort et aussi à quel point je tennais à ma famille... Et un homme ne peut pas toujours fuir son passé... Même si s'est une chose souvent plus facile à faire...

-Je te crois, mais n'oublie pas que tu es parti comme un voleur, après leur mort. Il faut dire que certains l'ont trouvé louche. Vas voir le roi, et essaie de le convaincre. Moi je te laisse, parce que...




(OOC: Mets tes stats dans ta feuille de perso quand tu peux plz)

(parce que quoi? Parce que quoi???)

-Si j'ai prit la fuite, c'est que j,était encore jeune... Je n'avais pas même atteint la maturité... il est normal que mon jugement ne soit pas dévelloper... De plus, j'avais espérieux mieux de toi Ulan... Je pensais pouvoir faire encore confiance à un vieil ami... On dirrais bien que je me sois trompé... En espérant que ce ne soit pas la même chose en face du roi... Adieu Ulan, car tu ne voudra probablement jamais me revoir ni me suivre... Mais si tu reste ici, demande le pardon à ma famille de ma part... Les esprits doivent être tourmenté de mon sort, car je n'ai jamais voulu ce destin qu'est la solitude...

En partant de l'endroit, je ne prend pas la peine de le regarder... Je suis mort pour lui... Fléau n'est que Fléau et celui qu'il était avant n'existe plus...

Je me dirigeais vers le chateau du roi...

Le cimetière était situé à l'extérieur de la ville, mais tout de même à l'intérieur de l'immense l'oasis. De là où il se trouve Fléau pouvait percevoir le lac, dont les eaux brillaient des feux du soleil ardent. Fléau entama le chemin vers Tylon, qui n'était que d'environ 5 minutes à pied. Cependant, presque juste après s'être enfoncé da la forêt de palmiés, il rencontra deux hommes sur le chemin. Ils lui bloquaient le passage, avec des sabres recourbés sortis. Il s'agit d'hommes du désert, mais ils n'étaient pas des soldats du roi. Ceux-ci ne portaient pas l'uniforme coloré de rouge et de jaune de l'armé de Tylon, mais de simples vêtements couleur sable.

Fléau entendit des pas derrière lui et il vit deux autres hommes, sabre sortis, s'approché derrière lui.

-Ne fais pas d'histoire, et suis-nous, dit un des hommes devant lui.

Sans me retourner, je prit la parole:

- Certains disent que je suis un démon venu des enfer pour condamner la race humaine... Me suivre équivaudrait à votre mort... Je n'ai cependant pas de temps à perdre avec vous...

Je retournait ma tête juste pour que ses derniers voit mes yeux.

-Dégagez, sinon je ne donne pas cher de votre peau!

Je me retourne alors complètement tout endégainant mes deux lames.

L'homme que Fléau regarda eu un mouvement de recul. La terreur se lisait dans ses yeux. Mais celui à ses côtés s'élança, voyant les lames sortir de leurs fourreaux. Les trois autres le suivirent.

Voyant que l'homme près de lui allait attaqué, il utilisa sa rapière pour lui faire une entaille au niveau de la main (sous le poignet). il bloqua le premier assault d'épée avec sa rapière et vit une roulade pour être face à tout ses adversaires... Quels actions ont réussis et que voyait-il?

Fléau se plaça et attendit l'assaut. Alors que l'homme attaquait, il lui entailla le poignet. Puis, il bloqua habilement le coup d'un autre adversaire. Enfin, il réussis une roulade. Celle-ci ne fut parfaite, par manque d'agileté, mais il réussis tout de même à se relever pour être face aux quatre adversaires.

L'un d'eux était en arrière et se tenait le poignet ensanglanté. Les trois autres souriaient et s'aprochaient lentement. Derrière eux, il en vit d'autre sortir des bois. Il en entendit plusieurs autres derrière lui. Peut importe ce qu'ils lui voulaient, ça semblait important.

Puis soudain, il entendit un cri de guerre et vit Ulan arriver du chemin, rapière sortie. il Enfonça celui-ci profondément dans l'épaule d'un des hommes en beige. Le sang gicla et l'homme s'effondra.

Voyant Ulan, je ne peux m'empêcher d'être soulagé... Cependant, je ne devait nullement baissé ma garde... Je devait laissé parler mes lames... Celles-ci réclamait du sang...

-Que fait-tu ici mon ami? Sait-tu les mauvaises intentions de ses hommes?

Je m'approchais des trois hommes et je fit une technique comme suit: j'attend que mon adversaire porte un coup que je dévie avec ma première lame pour ensuite lui porté un coup... Nous verrons ce qui se passe ensuite...

Ce ne fut long que l'un d'entre eux attaqua. Fléau réussi à parer aisémet, puis il enffonça sa lame dans l'estoma de son asseyant. Celui-ci hurla alors que le sang jahissait de son corps. Il s'effondra, mais déjà les deux autres attaquaient. Fléau pra le coup venant de gauche, mais une lame lui taillada le bras droit. (-3 pdv, + diminution de l'habileté de ce bras).

Ces deux hommes avaient réussis à atteindre Fléau, mais ils ne purent se réjouire longtemps : Ulan en décapita un et jeta l'autre au sol.

-Je ne sais d'où iols sortent, mais j'ai tout suite compris qu'ils te voulaient du mal.

Les hommes les avaient maintenant encerlclé. Ils étaient plusieurs, au moins une dizaine, et avançaient en même temps, alors que celui au sol tentait de se relever pour s'enfuir.

Me baissant, je pris le vuyant comme bouclier humain avec mon bras affaiblit. Il était encore fort, mais moins mobile... Ma lame était sous sa gorge... un seul faux mouvement et il mourrait. Je me servirait de lui comme boulier et de mon autre main pour les abbatres lorsqu'ils étaient trop près... Tenant ainsi un otage, je pouvais tenter de marchander avec eux...

-Que me voulez-vous? Je peux vous assurer que je n'apporte que malheur à ceux qui sont avec moi trop longtemps... Je n'ai rien qui puisse vous être de valeur... Laissez-nous partir et nous arrêterons ce bain de sang inutile...

Puis, murmurant en un souffle à Ulan:

-Combien sont-ils de ton bord... Nous verrons un échappé vers le côté le moins nombreux s,ils ne veulent pas entendre raison...

Aucun d'eux ne semblèrent hésiter. Ils avançaient d'un bloc. L'un d'etre eux répondit alors.

-Nous ne le connaissons pas ; Il n'a aucune valeur pour nous. Nous n'avons que reçu l'ordre de te ramener. C'est ta dernière chance : Jette tes armes ou ne te prenons tout de même et tuons ton compagnon.

Ils continuèrent d'avancer lentement, attendant de voir la décision de Fléau.

-Ils sont treize, dit Ulan tout bas.

(Il y en avait dix devant Fléau)

-À vingt-trois contre deux, le combat est peu loyal... Je n'ai donc pas le choix... Si de mon sacrifice un homme qui a tout à vivre peut le faire, alors soit... J'espère que tu comprendra ma décision...

Je parlais donc au chef.

-Laissez partir mon ami ici et je baisserais mes armes lorsqu'il sera hors de porté... On a un accord?

-Que ton ami relâche ses armes, et nous le laisserons partir.

Ulan se tourna vers Fléau. Il hésita un moment, mais il compris que celui-ci avait pris sa décision. Il rengaina alors sa râpière en soupirant et avança. Le groupe d'hommes en beige se sépara, le laissant passer, puis il se referma aussitôt.

-Maintenant lâche tes armes.

L'homme désarmé retennait toujours sa respiration sous la menace des armes de Fléau.

-Si ce n'est pas pour poussé ma chance, j'aimerais savoir pourquoi vous devez venir me chercher... Pour quel raison quelqu'un chercherais un vagabon comme moi? Je n'ai rien de valeur ni le secret des anciens... Je ne serais pas d'aucun atout pour personne...

La vrai raison de cette manoeuvre était de laissé le plus de temps possible à Ulan de partir... Il se doutait qu'il ne le reverrait jamais et que ce dernier n'appelerait pas les gardes, mais il savait ainsi qu'il serait en sécurité loin de ses hommes et qu'ils auront moins de temps pour le rattrapper en cas de poursuite...

-Je relâche cet homme après que vous ayez répondu à cette question... Rien de bien méchant puisque je suis en votre ''contrôle''...

L'homme haussa les épaules.

-Je n'en sais rien. Maintenant, tue le si tu veux, mais lâche tes armes. Nous avons suivi notre part de l'accord.

L'homme en question se mit à se débattre en hurlant. La ville Tylon ne se trouvait pas bien loin.

Je décide de ne pas assasiné l'homme, si eux le voulait, qu'il en soit ainsi... Mais je ne désire pas que le sang d'un homme vaincu et terrifié vienne salir ma lame... Je repoussait ainsi cet homme vers ses camarades et je remis mes rapières au foureau... Je lançais mes deux armes, dans leurs foureaux, au type qui me parlait... Il les attraperaient sûrement s'il avait la moindre parcelle de talent...

-Allons-y dans ce cas... Je vous suis... Je n'ai pas d'autre choix de toute façon... J'espère seulement pour vous que le chemin n'est pas bien long...

L'homme devant lui les attrapa avec un sourire et les donna à l'un de ceux qui étaient près de lui. Puis il fit un geste et deux hommes virent attraper fermement Fléau. Celui qu'il venait de relacher se mit à courir mais trébucha. Il se mit à genou un trembalant. Alors que les hommes en beige se mettaient en marche, l'un d'eux lui donne un légé coup de pied en l'incitant à se relever. Celui-ci écouta et la troupe avança dans le désert

Ils relâchèrent fléau et le rythme accéléra. Mais Fléau était tout d même surveiller par plusieurs hommes. Il ne pu rien tenter.

Ils marchèrent ainsi environ une demi heure avant d'arriver aux canyons.



(350 XP pour le combat)
(suite du message dans les canyons)