La citée du crime

-Si la dame veut se présenter, ce sera son choix... De toute façon, ne tente pas de canger le sujet... Si tu sais tant, dis nous un moyen de les vaincres. Si tu est pas avec eux, tu est contre eux et le fait que nous les enlèveront d'ici sera profitable pour toi et pour nous... Si ont évite les champions, tout devrais se terminé rapidement... De plus, tu n'a toujours pas répondu à ma question...

Il sourit de plus belle.

-Oui en effet, les repousser est bien dans mon intention, mais si je veux récupérer mon du, je ne veux pas que d'autre viennent jouer dans mes plates bandes. Je t'ai déjà proposer de coopérer avec moi, mais tu as refuser, t'en souviens tu? Il est trop tard à présent. Le moyen de les vaincre, tu devras le trouver seul, je suis désolé. Mais je ne suis pas mauvais joueur, je te laisse avec cet indice : Bréus sais comment. Cependant, parlant de jeu, si tu veux savoir où trouver Bréus, tu devras d'abord jouer avec moi. C'est d'accord?

-Je me doutait que tes informations n'étaient pas gratuites malgré ton grand coeur... (Je souris un peu) Soit, dis moi les règles et je verrais comment réussir pour passé à autre chose... Si toi tu n'est pas pressé de vaincre les darkshans, moi oui... Sans vouloir te brusqué la main...

-Bréus se terres dans les tunnels des monts gris, à l'est de Falgor. Il sait que ce qu'il a fait peut lui coûté la vie. Aussi restes t'il caché.

ll fis quelques pas avant de poursuivre.

-Maintenat, voici les règles du jeu : Vous avez déjà obtenu votre récompense au cas où vous réussiriez. Maintenant, sachez que je vous ai déclaré fugitifs, ennemis de la Grande Plaine. Donc, le jeu est très simple. Voyons si vous parviendrez à quitter la plaine vivants. Si vous perdez, vous mourrez. Maintenant, dépêchez vous, la partie a déjà commencé.

Il fut pris d'un rire sadique alors qu'il disparaissait dans un nuage de poussière.

-... Tu va me le payer Kercy... Vraiment, j'imagine que tu te marre dans ta tour présentement...

Je me retourne vers Saja et je lui dit:

-Si tu as un sort de téléportation ou quelque chose du genre, ce serait bien apprécier... Sinon, si tu connais le chemin le plus court pour sortir d'ici, ça serait apprécier...

Elle hocha négativement la tête.

-Je ne connais pas ce territoire, mais j'imagine que nous devrions voyager vers le sud, en direction des monts gris... Dans tous les cas, je suggère que nous restions le plus souvent possible près des arbres, ceux-ci nous aiderons.

Saja hocha la tête.

-Dépêchons nous alors.

Soudain, des bruits se firent entendre dans les bois. Des gens arrivaient par le nord, rapidement.

-Ses bruits de pas me font incité à partir vers le sud...

alors nous partons... Si quelque chose se passe,prévient moi! Je suis un courreur rapide!

Ils partirent donc d'un pas rapide vers le sud. Ils marchèerent ainsi cinq minutes et tout sembla bien ce passer. Ils semblaient distancer leurs poursuivants. Jusqu'à ce que soudain, sans crier gare, cinq homme vêtus de noir et portant sur leur tunique le blason que Fléau avait perçu sur les drapeaux du château de Cordrack apparurent littéralement de nulle par, devant eux. L'un d'eux était déjà en train de lui donner un coup d'épée.

Ce ne fût que grâce à son agilité et à sa grande réaction que Fléau évita le coup. N'ayant pas encore sortis ses armes, il plaça sa main ensuite sur la garde de l'épée du soldat pour ensuite donné un coup de coude sur le bras. La douleur ferrais probablement des dégâts sur les os du soldat. Il décida de reculer, que l'action ai fonctionné ou pas, et sortit ses deux épées...

Fléau parvint à éviter le coup et et riposter d'un coup de coude. La douleur fit lâcher l'arme du soldat, qui se tint le bras. Saja avait sorti son épée et parra un coup, avant de lever la main pour en foudroyer trois qui se trouvaient rapprochés les uns des autres. Le dernier soldat se tint à l'écart et leva le bras en direction de Fléau. Ce dernier sentit l'une de ses deux épées ramolir, puis il la vit devenir liquide et couler entre ses doigts.

(OOC: Rassures toi, les sorts d'altérations sont temporaires)

-Tu va me le payer...

Courant vers le soldat de cordrack à toute vitesse en zizaguant sans faire le même mouvement deux fois, lorsque j'arrive devant lui, je vise son tibia de mon pied et sa ma avec ma lame...

(«je vise son tibia de mon pied et sa ma avec ma lame...» Je présume que tu vises la tête avec ta lame, donc je vais faire comme tel)

Le soldat recula en voyant Fléau approché et trébucha sur une racine. L'homme du désert n'eu aucun mal à le décapiter. Un autre soldat vit sa vue encombrée par le feuillage de la forêt. Il mourru, la lame de Saja planté dans l'estomac.

Soudain, un cri de guerre retenti derrière Fléau. Il se retourna pour voir un des soldats de Cordrack qui avait été foudroyé par Saja s'apprêter à le poignarde. Si son pantalon n'était pas rester accroché à des branches, Fléau se serais fait assasiné.

Transperçant le soldat avec ma lame (qui est bien plus longue puisque le soldat tente de me poignarder), je lui prend ensuite son arme pour pouvoir remplacé sa lame liquide...

*La chance me suis parait-il... Mon temps n'est pas encore venu...*

Il ne restait plus que deux hommes, dont l'un était blessé au bras. Cependant, il courrait en direction de son arme, pour la récupérer. L'autre était en combat avec Saja, qui semblait maîtriser la situation. Fléau vit son épée au sol reprendre son aspect solide. Il devait maintenant choisir entre épauler Saja, tuer l'homme avant qu'il ne reprennes son arme ou récupérer sa propre épée.

Je lance la lame que j'ai pris au mourant sur le blesser et je tente de reprendre mon épée... Après tout, il va valoir courrir après! Et je n'aurais pas le temps de reprendre mon épée...

En un rien de temps, Fléau récupéra son épée. Le garde de Cordrack en fit autant. Durant ce temps, Saja bloqua un coup et leva le bras. Une boule de feu en jaillis et frappa l'homme, qui tomba au sol et se tordant de douleur. Il brûla encore un peu puis cessa de bouger.

Le dernier soldat revin à la charge en direction de Fléau.

Si le soldat tente de me frapper à la vertical, je pare le coup avec mes deux lames pour ensuite donner un coup de pied derrière son genoux tout en allant sur le côté. S'il frappe à l'horizontal, je recule et j'attend qu'il termine son coup avant de lui percé le thorax de mon épée. S'il frappa à la diagonal, je vais faire une roulade pour me trouver derrière lui et ensuite abbattre mon arme sur sa pauvre personne...

Le soldat vint à sa hauteur et frappa d'un coup à l'horizontale. Fléau fit un bond arrière, esquivant le coup, puis riposta. Son épée vint percer le ventre de l'homme, laissant échapper du sang abondemment. Le soldat tomba au sol. Les cinqs soldats étaient maitenant morts, mais ceux qui arrivaient par le nord étaitent maintenant très près. Fléau pouvait voir leurs armures à travers les arbres. Ils étaient plusieurs.

Mais ils semblaient extrèment ralentis par une partie dnse de la forêt, composée de jeunes pins tous très raprochés les uns des autres. Il était impossible de la traverser en courant. Et pourtant, lui et Saja l'avaient fait sabs rien remarquer. Il ne se souvenait même pas de les avoir apperçcu.

Fléau vit Saja qui sourillait. Elle se tourna vers lui avant de parler.

-Cela fait longtemps que nous sommes ensemble. Je crois qu'il serais sage que l'on s sépare. Nous nous retrouverons bien de l'autre côté de la frontière.

-En effet... C'est plus sage... Je te laisse la tâche de me prévenir une fois là-bas... Car, bien franchement, question se faire repérer, c'est pas mon fort... Tu trouvera bien une façon de me retrouver... Bonne chance Saja...

Sur ce, car le temps lui manquait, il commença à courrir vers le sud...

Elle prit une tralectoire légèrement différente et ils courrurent tous les deux vers le sud. Il ne fallut pas beaucoup de temps à Fléau pour sortir du bois. Dans la plaine, il serait plus à découvert. Auloin, il voyant le fleuve qui brillait, frontière sud de la Grande Plaine. Au dela, la sombre forêt de Daeranis.

Mais Fléau ne tarda pas à percevoir un groupe d'hommes de Cordrack en patrouille dans la plaine. Il n'était pas encore sorti du couvert de la forêt.

J'aimerais savoir si:

-La rivière est loin ou pas?
-Il y a environs combien de soldat?
-Est-ce que je vois les soldats qui me poursuivent?
-À quel distance est la patrouille?
-Est-ce juste des homme à pied ou est-ce qu'il y a des chavaliers?
-Il y a un pont proche?

La rivière était loin. Il lui faudrait bien deux heures pour l'atteindre d'un pas rapide. Fléau ne vit aucun pont, mais à cet endroit le fleuve prennais presque sa source, aussi n'était-il pas bien large. De plus, rien n'indiquait qu'il n'y avait pas d'endroit où traverser à gué.

Les mystérieux pins qui avaient bloqué le chemin de ses poursuivants étaient si serrés que non seulement il ne les percevait plus, mais Fléau se demandait s'il était parvenu à les semmer.

La troupe, quant à elle, était composée d'une dizaine d'hommes, tous à pied. Il était évidents qu'il cherchaient quelque chose, ou quelqu'un. Ils se trouvaient à une centaine de mêtre de lui.

*Si je cours, il tenteront de me rattrapper... Je ne sais pas si les poursuivants m'attraperont ou si ceux qui arrivent pourront m'attraper, mais rester là risque de me faire capturer... Un affrontement est hors de question... Ils sont trop nombreux... J'aurais du naître avec des pouvoirs magiques pour devenir invisible moi!*

Suivant son instinct, car s'est bien la seule chose qu'il avait fait pendant de nombreuses années, il décida de sortir de la forêt pour courrir comme il n'avait jamais courru... Ses soldats en armure devais pas courrir aussi vite que lui...