La ferveur des veleines

Acourant vers la prêteresse, Fléau déchira un morceau de sa tunique pour faire un gareau à la prêteresse pour stopper l'hémoragie. Il mit de la pression sur la blessure.

-Non... Dit moi qu'il n'est pas trop tard...

Saja ne répondit pas. Elle apliqua ses mains sur la plaie et une vive lumière blanche s'en dégagea. Quelques secondes plus tard, elle se pencha vers l'arrière et malgré le fait qu'elle était agenouillée, elle dut s'assoir. Elle se tourna vers lui, les larmes aux yeux, en confirmant ses craintes d'un signes de tête.

-Allez chercher les gardes, dit-elle d'une voie faible.

Tout en restant silentieux, je tentait de rejoindre la sortie pour allez chercher les gardes au plus vite possible...

*Est-ce que tout ceux qui peuvent nous aidez doivent mourir? Au moins, je sais comment ce nomme ce sorcier, mais le chaos règnera bientôt sur la cité Sainte...*

Fléau n'eu ps à aller loin. Il trouva un garde de l'autre côté d la porte. Lorsque Fléau lui expliqua ce qu'il venait se passer, il se précipita à l'intérieur. Il s'agenouilla près de la Grande Prêtresse et examina ses blessures.

-Elle est toujours vivante, mais ses blessures sont trop grâves, dit Saja. On ne peut pas la sauver.

Le garde vérifia par lui même.

-Je connais un homme. Il se nomme Firidick. Il pourrait la sauver. Seulement, la Prêtresse l'a envoyé en Ismar pour épauler les hommes.

Le garde fit signe que oui de la tête.

-À l'arrière du Temple, vous trouverez une écurie. Prenez-en un. Tenez...

Il gribouilla quelque chose sur un papier et le lui rendit.

-Faites vite. Cela vous permettra prendre un cheval si un palefrenier vous interpelle. Mais tentez de ne pas vous faire remarquer, cela vous sauvera beaucoup de temps et d'explications.

-Merci bien, mon cher... Dans la pire des situations, j'assomerais le palefrenier... Nous n'avons pas de temps à perdre...

Il prit le papier et alla vers l'écurie tout en restant discret rendu là-bas. Je regardait l'endroit pour voir s'il y avait des palefrenier. S'il y en avais pas, je passais rapidement en prendre un...

L'un d'entre eux se trouvait là, mais plus à distance et semblait absorbé par son travail de nettoyage de l'écurie.

Je détachais le chevail le plus prêt de l'endroit où je suis pour ensuite sauté sur le dos de l'animal. Enfin, suté est un peu exagérer... Plutôt m'assire sur le dos de l'animal pour ensuite partir le plus rapidement possible...

Fléau s'empressa de subtiliser un cheval de l'écurie. Celui-ci se câbra loresqu'il grimpa sur son dos, mais l'homme du désert réussi à le maîtriser. Il s'élança à travers l'écurie, le palefrenier à ses trousses. Les portes étaient ouvertes, aussi réussi t'il à sortir. Il dirigea son cheval vers le royaume d'Ismar, à la recherche du seul homme pouvant peut-être sauver la prêtresse...

(Suite dans la grande plaine, sujet La race des ombres)