La main des ténèbres sur une âme en deuil...

La fine pluie d'avant-midi qui tombait sur le bosquet de petits plants d'arbustres, tout comme sur le reste de la verdoyante plaine qui s'étendait à perte de vue à 360 degrés autours, à l'exeption d'une altération grise qui faisait comme une tache, à l'ouest, tel étant les murs de la puissante Ballion. À travers ces feuillages, une lame lisse, polie, sans erreurs, ornée de runes racontant en language divin la création d'un monde meurtrier et sans pitié, ayant en son milieu un fil qui semblait argent, mais qui brillait, même sous ce couvert gris, faisant resplendir la lame, hôte d'un maître peu claire en son instar. À côté de la belle Esteniel se tenait un être sombre, mon ombre, enrobé dans de vieux vêtements effilochés, rendus humides à cause de la pluie matinal. Moi, ombre de ma personne, ne devait pas avoir cligné des yeux depuis au moins deux heures, fixant toujours le bout brillant d'une lame, attendant une morte personne qui ne sera plus qu'un rêve.

«Tout ça... Pour rien.»

Je revoyais dans ma tête la lance de bois, avec sur le bout la tête brune est délicate de la belle Eniel qui avait fait de ma triste et pénible vie un paradis presque parfait.

«Tout ça pour en arriver à un fossée.»

Les yeux inactifs demandaient encore l'aide d'un dieu impuissant qui les avait toujours guidé. La marre de sang qui avait été faite au pied du piquet constituait un liquide sacrilège, meurtrier, démontrant une violence sans fin.

«Un gouffre.»

Les soldats à l'entrée de la porte semblait l'attendre. Ils étaient là, regardant immobiles la scène, et un avait même rit à la scène de l'homme déprimé devant la femme qu'il avait tant aimé.

«Cette irrespect, cette mort... Est une insulte. Comment ont-ils pu? Je ne... je n'y... peux rien...»

L'ombre. Voilà la signification de ma vie atroce qui semblait se conclure par un abandon inespéré. La pluie continuait tristement de tomber pendant que moi, Finster Initheriel faisait glisser une larme sur ma joue, triste joyaux d'une mort impardonnée et incompréhensible.

«Cette haine nous guide... Tout comme moi... Et je mettrai un terme à cette haine... à la vie...»

La pluie doubla en intensitée.

Que fais tu là? Rentre donc. Ce la fait plusieurs heures que je te cherche. Tu es parti tôt ce matin?

Finster fut tiré de ses pensées. Un homme d'âge mure se tenait devait lui. Il s'agissait d'un prêtre du nom de Tarael. Celui-ci était en charge de la chapelle du village où Finster s'était établi après la mort d'Eniel et de son fils. Il s'approcha et l'aida à se relever. Puis il poussa en petit en cri en voyant ses vêtements souillés de sang.

-Mais qu'a tu donc fait? Es-tu blessé?

Je levai les yeux vers cet homme, qui ressemblait étrangement à celui qui m'avait sauvé, un peu plus tôt, des griffes de ces hommes. Je détournai mes yeux des siens, et je chuchotai :
-Il me l'ont enlevé... À jamais.
Le prêtre, remplit de bonne volonté, ne put s'empêcher de dire :
-Mais de quoi parles-tu?
Je ne répondit pas immédiatement. Je revoyais cette scène trop horrible pour être raconté, mais je fixai le gentilhomme dans les yeux :
-Je crois que je vais devoir aller me repentir à Lui. Il y a quelques chose qui m'a échappé, et il me faut son conseil.
Je me levai, empoignai doucement Esteniel, et partit devant le prêtre :
-Partons d'ici, et retournons dans notre humble sanctuaire.
Et c'est ainsi qu'il prit le pas vers le petit village, à peine visible au loin, le prêtre sur ses talons, qui comprenaient difficilement les agissements de cet homme si changeant.

(OOC : Désolé pour le petit post, je manquais d'inspiration.)

Ils marchèrent quelques minutes seulement pour atteindre le village. Le prêtre s'arrêta.

-Mais qu'es-ce que cette folie?

Finster avait eu la même pensé. Au centre du village, il y a avait des hommes de l'instar combattant ensemble, ainsi qu'un homme en cuir. Le groupe d'homme qui était de dos avait l'avantage du nombre, et l'un d'eux, une grande épée entre les mains, semblait très dangereux.

TA MARQUER DES HOMMES DE L'INSTAR!!! XD

(OOC: je te signiale que c'est de ta fute. Si tu ne me l'avais pas dit je ne m'en souviendrais plus)

(OOC : Lol Ben, quand même, faut pas que t'exagére sur les droits d'auteur.)

Je m'avança un peu et chuchota au prêtre :
-Retournez à la chapelle par un chemin plus discret. Je viendrai vous y rejoindre quand j'aurai appris deux trois choses sur ces bonhommes.

Je ne regarda même pas la reaction du prêtre, et je lança vers les hommes:

-Qui êtes-vous pour venir ainsi dans un tel village aussi dépourvu qu'un chat au milieu des loups?

(Je niese ben on s'en fous tu mode bien continu ! )

(Réponse dans les plaine Verdoyantes, dans le sujet «À la recherche d'un but»)